© Léa Murawiec - éditions 2024 / 2020
Le grand vide
Manel Naher est contrariée : les journaux ne parlent que d’une autre Manel Naher. Or, dans son monde, les individus ne survivent que si leurs semblables pensent à eux. Sinon, ils meurent. C’est le sort qui guette Manel, héroïne malgré elle de cette histoire dont le graphisme original se double d’une réflexion pertinente sur nos sociétés, soumises au diktat implacable du paraître.
Léa Murawiec
Diplômée de l’école Estienne en 2015 où elle étudie le graphisme et se passionne pour la typographie, Léa Murawiec part l’année suivante en Erasmus à Shanghai. Une expérience qui marque le regard et le style de cette fan absolue de mangas. Elle poursuit ses études en passant à la bande dessinée à l’École européenne supérieure de l’image à Angoulême où elle réalise une bande dessinée numérique à choix multiples. Déjà, les questions du choix, de l’engagement, des règles et des codes imprègnent ses récits. Depuis 2013, elle est éditrice et autrice au sein de la maison de microédition Flutiste et publie régulièrement ses travaux dans des fanzines ou des revues collectives (Biscoto, Novland, etc.). Son truc ? Dessiner à l’encre de chine pour conserver ses liens au geste et au papier. Le Grand Vide déjà en tête, elle bénéficie d’une résidence de deux ans à la Cité de la Bande dessinée (en partenariat avec Magelis et l’EESI) pour plancher sur ce récit dystopique. Le Grand Vide est sa première bande dessinée, sortie aux éditions 2024.
Participation à plusieurs numéros de la revue Flutiste (numéro 3 et suivants), dans des fanzines et autres revues collectives (Biscoto, Novland, entre autres).
"Conspiration", au collectif de microédition Flutiste.
"Fabuleux Vaisseaux", avec Krocui, au collectif de microédition Flutiste.
"Le Grand Vide", éditions 2024, 2021.
"Conspiration", au collectif de microédition Flutiste.
"Fabuleux Vaisseaux", avec Krocui, au collectif de microédition Flutiste.
"Le Grand Vide", éditions 2024, 2021.