© Maria Rostocka et éditions FLBLB
La Fin de juillet
C’est l’été. Les journées sont interminables. L’ennui fait office d’horizon indépassable. Dans un village de Pologne, Alek est en vacances chez sa grand-mère.
Pour s’occuper, il traîne avec un copain et la sœur de celui-ci. Récompensée par le prix de la meilleure bande dessinée polonaise, cette chronique de la vie ordinaire qui fait la part belle au silence est aussi une réflexion sur le temps qui passe.
Pour s’occuper, il traîne avec un copain et la sœur de celui-ci. Récompensée par le prix de la meilleure bande dessinée polonaise, cette chronique de la vie ordinaire qui fait la part belle au silence est aussi une réflexion sur le temps qui passe.
Maria Rostocka
Maria Rostocka est une artiste polonaise qui vit à Varsovie.
Elle passe une partie de son enfance en France où elle découvre la lecture en lisant des bandes dessinées. Elle continue ses études au lycée français René Goscinny de Varsovie (ça ne s’invente pas?!) puis fait des études de peintures aux Beaux-arts. Elle passe plusieurs années à peindre des nus et des natures mortes sur toiles, avant de comprendre que le XIXe siècle est bel et bien terminé.
Le travail de Maria Rostocka a toujours été proche de la bande dessinée : elle a longtemps réalisé des séries de tableaux, puis des suites d’image à la gouache avant de se mettre à peindre des histoires courtes en bande dessinée, ce qui lui a permis de se faire une place dans le petit monde de la bande dessinée polonaise. En 2013, elle co-écrit L’ours, le chat et le lapin avec son mari Micha Rostocki, livre publié en Pologne, et traduit en France aux éditions Michel Lagarde.
Maria se lance ensuite dans l’écriture de La Fin de juillet, qu’elle mettra « à peu près 100 000 ans à réaliser ». Ce livre, inspiré par le cinéma indépendant et les romans de Jane Austen, est marqué par l’atmosphère d’un village près de Varsovie où vivait le grand-père de l’autrice. Ce ne sera bientôt plus la campagne, la ville va l’engloutir. Il y a du vieux et du nouveau, la nostalgie du passé, l’optimisme du futur et le sentiment étrange de vivre dans un monde où tout se mélange.
Elle passe une partie de son enfance en France où elle découvre la lecture en lisant des bandes dessinées. Elle continue ses études au lycée français René Goscinny de Varsovie (ça ne s’invente pas?!) puis fait des études de peintures aux Beaux-arts. Elle passe plusieurs années à peindre des nus et des natures mortes sur toiles, avant de comprendre que le XIXe siècle est bel et bien terminé.
Le travail de Maria Rostocka a toujours été proche de la bande dessinée : elle a longtemps réalisé des séries de tableaux, puis des suites d’image à la gouache avant de se mettre à peindre des histoires courtes en bande dessinée, ce qui lui a permis de se faire une place dans le petit monde de la bande dessinée polonaise. En 2013, elle co-écrit L’ours, le chat et le lapin avec son mari Micha Rostocki, livre publié en Pologne, et traduit en France aux éditions Michel Lagarde.
Maria se lance ensuite dans l’écriture de La Fin de juillet, qu’elle mettra « à peu près 100 000 ans à réaliser ». Ce livre, inspiré par le cinéma indépendant et les romans de Jane Austen, est marqué par l’atmosphère d’un village près de Varsovie où vivait le grand-père de l’autrice. Ce ne sera bientôt plus la campagne, la ville va l’engloutir. Il y a du vieux et du nouveau, la nostalgie du passé, l’optimisme du futur et le sentiment étrange de vivre dans un monde où tout se mélange.
éditions FLBLB : La Fin de juillet, 2021
éditions Michel Lagarde : L'ours, le chat et le lapin (avec Michal Rostocki, 2013)
éditions Michel Lagarde : L'ours, le chat et le lapin (avec Michal Rostocki, 2013)